Quel con fut sius ? Que fit le kenkraut ?
Le blog tourne au
ralenti. La rédaction a bon mettre en branle le yaourt maigre qui lui
fait office de matière grise, il n’y a pas vraiment de quoi intéresser
l’internaute de passage.
Dans la semaine, Anne-Laure part tôt et
revient tard pour se coucher pas trop tard pour pouvoir se lever tôt ;
une vraie vie de forçat – à ceci prêt qu’elle aime ça et qu’à notre
connaissance, aucun galérien n’avait acheté son billet pour la
croisière.
Vincent prépare un truc,
un gros truc d’après lui, un gros truc qui ne sera peut-être qu’un coup
peu épais dans l’eau, un gros truc qui n’en sera peut-être qu’un petit.
Et le fait qui l’y passe du temps n’est pas un gage de réussite, c’est
une leçon qu’il a appris il y a peu. Le truc sera en ligne
prochainement, on vous tiendra au courant.
Et pendant ce temps-là, Pierre-Michel meurt petit à petit sur le balcon.
A partir de ce week-end, vous n'en n'aurez pas fini d'entrer parler de Raymond. Le squatteur de blog traverse
l'Atlantique vendredi pour venir goûter l'été indien. Prenez tout de
même une petite laine et un bon blouson, Raymond, parce que ce n'est
pas exactement comme dans la chanson du regretté Joe Dassin. (si, si il
est regretté - personnellement, le népalais aime beaucoup sa version de
"Ode To Billy Joe", parce que, tout de même, arriver à placer quatre
fois "Bourg-les-Essonnes" dans la même chanson, ce n'est pas à la portée du premier rimailleur venu).
C'est
tout pour aujourd'hui, bon courage pour Guy (nos amitiés à ta gastro),
bon courage à Jean (nos amitiés tout court), bon anniversaire un peu en
avance à Nono (non, non, les népalais ne seront pas non plus à ton
anniversaire) et bonjour à Nico (bienvenue dans la monde merveilleux
des gens qui ont Internet chez eux).